Investir dans l’immobilier, le bon timing ?

La question est récurrente, est-ce le bon moment pour investir ? Quelle est la tendance actuelle du marché immobilier ? Tout investisseur potentiel s’interroge. Ci-joint la réponse des professionnels du secteur. 

 
« À fin juillet 2018, le volume annuel de transactions reste à un niveau élevé, avec 950 000 ventes réalisées au cours des douze derniers mois. 

Comme les trimestres précédents, deux éléments peuvent laisser présager la poursuite de cette stabilisation sur les prochains mois : le flux de nouveaux crédits au logement des ménages cumulé se stabilise et 85 % des banques déclarent une stabilisation de la demande de crédits à l’habitat. (…) 

Néanmoins, comme les notaires le constatent dans leurs études, les volumes connaissent un léger essoufflement. Les Cassandre pourraient y voir un retournement de tendance fort. C’est inexact. Il y a une normalisation des volumes et c’est, somme toute, rassurant. Replacée quelques années en arrière, l’annonce d’un volume de « seulement » 950 000 ventes sur un an aurait provoqué l’euphorie collective. Ne nous trompons pas, la tendance demeure à ce jour positive ; ce n’est pas parce que chaque nouveau trimestre ne bat plus le précédant en termes de nombre de ventes que la situation en devient catastrophique.

Le marché a, en réalité, une nouvelle fois évolué. Il faudra désormais s’attendre à être confronté à des variations qui seront faites de soubresauts, connaissant tantôt des accélérations tantôt des décélérations des volumes d’un trimestre à l’autre, touchant différentes villes françaises de façon inégale voire inverse.

La baisse des volumes viendra de la hausse des prix. Des taux bas, même avec l’allongement de la durée des prêts, ne pourront pas indéfiniment contrecarrer cette hausse et l’attentisme renaîtra si la situation économique globale en France venait à montrer des signes d’essoufflement.

L’investissement dans l’immobilier reste une décision importante : il rassure et sécurise par le sentiment de propriété et de tangibilité qu’il inspire, mais demeure une dépense chère tant par le coût du remboursement mensuel du prêt qui est le plus souvent mis en place, que part les frais importants qu’il faut débourser à l’achat. (…) « 

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